25 Aoû 2017 21:15
29 Aoû 2017 16:23
30 Aoû 2017 08:47
05 Sep 2017 13:53
05 Sep 2017 14:04
n1k00 a écrit:Les choix de Ubisoft pour rainbow six siege c'est abusé putain
05 Sep 2017 14:14
Madmax a écrit:n1k00 a écrit:Les choix de Ubisoft pour rainbow six siege c'est abusé putain
J'ai pas retouché au jeu depuis les brésiliens. c'est quoi les choix d'ubisoft ?
06 Sep 2017 14:31
19 Sep 2017 18:56
26 Sep 2017 20:21
04 Oct 2017 15:50
04 Oct 2017 16:26
04 Oct 2017 19:19
aoshi85 a écrit:Le Koh Lanta de cette année. Je le trouve bien pourri.
Mel est partie beaucoup trop tôt mais elle l'a mérité car elle a fait de la stratégie tôt, elle aurait du attendre au moins la réunification.
Thomas aussi avait un potentiel stratégie/haine mais depuis la mort de Gérard Babin, ils ne prennent aucun risque. Une piqure de moustique ou un grain de riz avalé de travers et hop abandon médical :/
Les ex-jaunes/jeunes sont teubés à en mourir. Depuis la réunif ils ont pas percuté qu'ils vont tous se faire dégommer par les ex-rouges/vieux et votent entre eux. Bon après dans KL, les alliances se désagrègent aussi vite qu'elles se construisent mais ils sont pour l'instant partis pour se faire tous éliminer sans rien comprendre. Le pire étant le dernier conseil où les jeunes et vieux étaient à égalité chez les jaunes mais tous ont voté May... des abrutis de première, aucun sursaut d'orgueil.
Celimbrimbor a écrit:https://www.lesechos.fr/politique-societe/societe/030658044848-education-le-tableau-severe-de-la-cour-des-comptes-sur-la-gestion-des-enseignants-2119415.php#xtor=CS1-33
Cela me révolte.
on peut s’inquiéter légitimement d’une conception de l’histoire et des patrimoines comme une succession d’anecdotes, de monuments, de beaux et hauts faits qui s’incarnent dans les princes et les châteaux, très loin d’un regard vif, incisif, contemporain et ouvert sur les restes du passé.
04 Oct 2017 19:29
saverne a écrit:Haha moi ce qui me révolte, c'est la tribune de Nicolas Offenstadt dans le Monde d'aujourd'hui, dans la lignée de la discussion que j'ai eue avec aristide.on peut s’inquiéter légitimement d’une conception de l’histoire et des patrimoines comme une succession d’anecdotes, de monuments, de beaux et hauts faits qui s’incarnent dans les princes et les châteaux, très loin d’un regard vif, incisif, contemporain et ouvert sur les restes du passé.
On ne peut pas faire les deux ?
04 Oct 2017 20:03
Voilà une décision politique qui a l’apparence de la simplicité et de l’efficacité: nommer un super «Monsieur Patrimoine» pour sauver le patrimoine français en danger. Du coup, le problème est défini simplement, les solutions aussi : le patrimoine est menacé, il faut le recenser puis trouver les moyens de parer aux dégradations, grâce à l’entregent de la star médiatique providentielle. Les rôles sont bien définis: une administration du patrimoine peu compétente ou peu motivée, des historiens grincheux et un volontaire vibrionnant et plein d’enthousiasme. En réalité, on l’imagine, ce beau récit ne tient pas.
D’abord, le « patrimoine » n’existe pas naturellement. Ce qui fait patrimoine est un choix social, un choix qui consiste à attribuer une valeur à un lieu, un objet ou un document du passé. Lorsque la valeur est reconnue, alors tout un ensemble d’opérations spécifie et entretient ce qui a été désigné comme patrimoine et assure ainsi sa transmission. Les « émotions » que l’on ressent face aux restes du passé sont déterminées par la conception que l’on se fait de ce passé, et non pas seulement par un esthétisme intemporel, encore moins par quelque propriété essentielle de l’objet. Ce qui veut dire qu’avant tout il faut s’entendre sur ce qui fait patrimoine dans la politique publique que l’on engage. Or cette étape préliminaire et fondamentale n’a jamais existé. La première étape d’aujourd’hui est à l’opposé: la communication sur un nom, sur quelques projets considérés comme phares. « J’ai restauré ci », « Je vais aller voir cela », « Tiens, y a un lavoir là-bas »…
C’est que, pour définir avec une certaine épaisseur ce qui peut ou doit faire patrimoine aujourd’hui, il faut vouloir utiliser tous les travaux et réflexions sur la question. Est-on vraiment sûr qu’un animateur de télévision soit le plus à même de guider cette analyse, si décisive? Soyons beau joueur et admettons même qu’il soit bien secondé. A vrai dire, la faiblesse du cadre d’action reste la même. Il est répété à loisir qu’il s’agit de « recenser » le « patrimoine » à sauver d’urgence. C’est avouer la superficialité complète de la mission. Car les recensements du patrimoine, au premier chef l’Inventaire général, existent en nombre, parfois de manière très spécialisée. Cet inventaire n’a cessé d’évoluer et de s’enrichir, intégrant de nouvelles catégories. Il existe, on finirait par l’oublier, un corps extrêmement bien formé et compétent de conservateurs du patrimoine, qui ne cesse d’oeuvrer dans ce sens. Un nouveau recensement, même limité aux «urgences», prenant appui sur les résultats existants, demanderait un temps et une compétence bien supérieurs à ceux de la mission.
Après les critiques portées à l’annonce de la nomination, le « patrimoine ouvrier » a fait ainsi une irruption aussi rapide qu’incongrue dans la bouche du missionné, dont les émissions omettent notoirement d’évoquer l’histoire sociale du pays. On attend donc les zigzags suivants, au gré des critiques à venir ou des domaines découverts en cours de route. Or pour sauver des éléments du passé dans une perspective critique et ouverte, il faut les inscrire dans un récit. Que veut-on leur faire raconter et comment ? Alors, en effet, des sauvetages acquièrent une vraie utilité sociale, aident à construire une conscience du passé. Ces récits ont souvent été bâtis à l’échelle locale, parfois avec bonheur, parfois en tordant la réalité pour des raisons touristiques. Ici rien de tel, aucun récit, aucune ligne de force, simplement l’accumulation sans fin, déjà annoncée, de cas, au gré des lobbyings, des amitiés ou des coups de coeur.
SUCCESSION D’ANECDOTES
D’ailleurs, l’objectif est clair. Il ne s’agit pas d’une véritable politique des patrimoines, mais de plaire aux touristes étrangers lors de leurs visites éclair : « On ne va pas leur montrer des ruines », nous dit le chef de la mission sur Europe 1. C’est annoncer d’emblée que le patrimoine considéré comme le plus éclatant sera privilégié, et c’est en cohérence avec l’appel au mécénat. Bien sûr, le mécénat, dans une juste proportion, aide de nombreux projets culturels, mais il les dégrade aussi: avez-vous vu ces immenses publicités pour des chaussures de sport sur l’église Saint-Eustache, bijou du centre de Paris ? Au nom du mécénat.
Rien n’interdit de penser qu’une « ruine » bien préservée, valorisée et expliquée – voyez l’abbaye de Jumièges (Seine-Maritime) –, évoque autant le passé, le patrimoine, que d’immenses panneaux publicitaires. Et puis ce mécénat est-il si désintéressé ? Imagine-t-on le financement de lieux tout à fait passionnants, mais qui ne brillent pas pour les touristes? Quel intérêt à financer un monument allemand de la Grande Guerre perdu dans une forêt de l’Aisne ou en Meurthe-et-Moselle et difficilement accessible? Et qui, pourtant, évoque le passé avec autant d’intensité que bien des lieux labellisés « patrimoine ».
Avec de telles prémisses, cette mission est assurée de faire de la politique patrimoniale une politique bling-bling, sans cohérence. Si le patrimoine est avant tout un tri, un choix, la question de celui qui opère le tri devient dès lors centrale. La notion de patrimoine n’existe que dans le cadre que la société lui construit. Or, en mettant cette mission sous les auspices d’un animateur qui fait de l’anecdote le sel de l’histoire, qui porte au pinacle l’histoire la plus insignifiante des familles royales et se définit luimême comme un grand amateur du « roman national », que peut-on vraiment attendre ? Qu’il se défasse de cette vision aussi dépassée qu’orientée du passé par le seul fait de sa nomination ? Si l’on prend au sérieux ce que dit cette nomination, on peut s’inquiéter légitimement d’une conception de l’histoire et des patrimoines comme une succession d’anecdotes, de monuments, de beaux et hauts faits qui s’incarnent dans les princes et les châteaux, très loin d’un regard vif, incisif, contemporain et ouvert sur les restes du passé.
04 Oct 2017 22:41
04 Oct 2017 23:57
aristide a écrit:- Il n'a pas tort sur l'aspect bling bling derrière le mécénat très sélectif des vestiges ou monuments à patrimonialiser, même si le contexte actuel de financement du patrimoine est complexe et soumis lui aussi à la mondialisation ;
On dirait de la jalousie en effet, qu'on ne lui ait pas demandé. Alors qu'en fait, c'est Bern qui s'est proposé je crois.aristide a écrit:Globalement, on sent une certaine frustration, voire même une rancoeur, à l'égard de ce qu'incarne Stéphane Bern et de sa nomination
Je viens de lire la fiche Wikipedia à ce sujet. Les oeuvres qui y sont citées n'ont jamais prétendu à l'exactitude historique totale. Les trucs romancés permettent de découvrir l'histoire même si elle n'est pas exacte, en en étant conscient c'est toujours mieux que de ne rien découvrir du tout. Et c'est plus facile aussi. Les émissions de vulgarisation permettent aussi cette découverte, il devrait en être content. Il ne peut pas s'attendre que tout le monde aille lire des ouvrages de recherche où les 3/4 des pages sont constitués des références des citations. Et le but ne doit pas être que la discipline ne bénéficie qu'aux spécialistes.aristide a écrit:son aversion pour "l'histotainment" ne date pas d'hier
05 Oct 2017 13:20
saverne a écrit:L'argent est cherché où il est, je comprends que ce soit sacrilège de mettre une grosse pub sur un monument, mais si ça reste temporaire, c'est mieux que plus de monument du tout.
On dirait de la jalousie en effet, qu'on ne lui ait pas demandé. Alors qu'en fait, c'est Bern qui s'est proposé je crois.
C'est un peu bête car dans ses émissions, il y a plein d'historiens avec tous leurs diplômes, donc ce n'est pas forcément léger sur le contenu. Après je ne suis pas raccord sur toutes les positions de Bern (genre quand il ne veut pas d'un tramway à proximité d'un château royal), mais le procédé de l'attaque ad hominem préventive me défrise.
Je viens de lire la fiche Wikipedia à ce sujet. Les oeuvres qui y sont citées n'ont jamais prétendu à l'exactitude historique totale. Les trucs romancés permettent de découvrir l'histoire même si elle n'est pas exacte, en en étant conscient c'est toujours mieux que de ne rien découvrir du tout. Et c'est plus facile aussi. Les émissions de vulgarisation permettent aussi cette découverte, il devrait en être content. Il ne peut pas s'attendre que tout le monde aille lire des ouvrages de recherche où les 3/4 des pages sont constitués des références des citations. Et le but ne doit pas être que la discipline ne bénéficie qu'aux spécialistes.
L'intérêt est là. Et quand il y a un vide, quelqu'un le remplit.
05 Oct 2017 13:34
saverne a écrit:Je suis un peu deg pour Mel, car pour que ce soit chouette, il n'est jamais trop tôt pour faire de la stratégie. Dans Survivor, dans la demi heure qui suit l'arrivée sur le camp, les alliances se font déjà... quitte à ce que tout le monde soit allié secrètement avec tout le monde !
Le problème de Mel, c'est qu'elle n'a pas eu de bol avec le retour de celui qu'elle avait viré (aux US, tout départ est définitif ce qui règle le problème), et surtout qu'elle n'a pas assumé : plutôt que d'accuser May, elle aurait du dire "bon ben il est de retour, il repartira aussitôt". En quelque sorte comme le furet, "il est passé par ici, il repassera par là" (mais maintenant que je sais que cette comptine est une chanson paillarde cachée...).
Pour la dernière émission, évidemment qu'en égalité 4 ex jaunes 4 ex rouges, le seul moyen de s'en sortir pour les jeunes c'était de viser la même personne, mais bon. Tout est récupérable, et en VF, donner mauvaise conscience à quelqu'un est une arme très efficace.
Mais oui, pour l'instant la saison est moyenne.
05 Oct 2017 19:27
aristide a écrit:C'est con, mais j'ai de plus en plus le sentiment que l'histoire est une discipline en sursis et que la société française tend à être plus horizontale que verticale, plus mobile qu'enracinnée, plus spatiale qu'historique. C'est pour ça que je préfère la géographie aussi, même si les géographes, comme les historiens, ont leur espace d'action et d'expression publique, celui des politiques d'aménagement/transports et du développement durable, où ils peuvent être moraliste ou donneur de leçon.
C'est bien vrai. Après ma réaction à cette tribune venait de ce refus de la "succession d'anecdotes" qui me semble désigner l'histoire événementielle dont on parlait. J'ai l'impression, mais je peux me tromper, que ce sont des gens comme lui qui font que cette histoire événementielle est mise de côté pour raison x ou y.aristide a écrit:Après, faut pas oublier que ces tribunes et débats touchent uniquement le petit monde parisien où tous ces intellectuels et personnages médiatiques se connaissent, très éloignés de la réalité de la France non initiée et non médiatique (autrement dit, 99,9% de la population française quoi).
aoshi85 a écrit:Le problème de KL c'est les 100K€, une somme sympathique mais pas assez pour que les participants fassent tout leur possible pour aller le plus loin dans l'aventure, réfléchissent un minimum et corrompent leur âme.
09 Oct 2017 21:03
17 Oct 2017 17:37
17 Oct 2017 17:51
canvasstar a écrit:Le doublage de l'annale du destin. Sans vie ni intonation, c'est lu pour être lu, c'est désastreux. Heureusement que la vo est là.
17 Oct 2017 17:56
17 Oct 2017 18:37
17 Oct 2017 19:58
Third_Eye a écrit:Le doublage, c'est le mal.
17 Oct 2017 21:04
Third_Eye a écrit:Le doublage, c'est le mal.
17 Oct 2017 21:15
18 Oct 2017 11:27
18 Oct 2017 19:27
19 Oct 2017 10:29
19 Oct 2017 12:44
canvasstar a écrit:A la limite, Cartman j'aurai fait un effort mais quand tu entends le doublage de Butters, c'est à vomir.
Les personnages secondaires sont sans vie, à éviter.
19 Oct 2017 14:11
19 Oct 2017 14:39
19 Oct 2017 15:08
Third_Eye a écrit:J'ai pour habitude d'acheter mes jeux via amazon.co.uk car c'est moins cher mais la cerise sur le gâteau est que ça me donne la version anglaise des titres. Je ne suis pas emmerdé par ces vf désastreuses. WIN WIN!
Les goûts et les couleurs ça ne se discute pas... mais quand même ! Vous avez vraiment des goûts de merde pour préférer la VO et la VF
Je suis sûr que n1k00 lit JoJo en ce moment
24 Oct 2017 20:23
14 Déc 2017 18:07
15 Déc 2017 08:08
Third_Eye a écrit:Kaspersky qui fait de la pub dans les salles de ciné françaises pour essayer de convaincre qu'ils ne sont pas à la botte de putin.
C'est assez risible mais malheureusement il y a toujours des boulets pour les croire. C'est bizarre que ça soit autorisé d'ailleurs...
15 Déc 2017 15:02
15 Déc 2017 16:16
15 Déc 2017 18:11