Vous avez mal compris le sens de la citation, si elle ouvre le film ce n'est pas pour rien, encore moins étonnant lorsqu'on connait l'histoire des Mayas et la chute de la civilisation. La phrase colle très bien au film et au contexte, ensuite oui la phrase n'est pas une vérité absolue car à chaque civilisation sa propre approche, mais il y a un fond de vérité malgré tout dans la citation.
Bon sinon j'ai remarqué que peu de monde s'est prononcé sur la réalisation alors que tous critique l'histoire et ces incohérences pourtant passable vu qu'il s’agit avant tout d'un divertissement grand public.
En revanche l'utilisation de la caméra numérique m'a bien dérangé alors que j'avais beaucoup aimé ce procédé dans Miami vice.
Ici je trouve que ça ne colle pas, certes en faisant un film en maya et en utilisant le numérique, Mel Gibson essai de rendre son film le plus réaliste possible. Cependant on constate qu'il s'agit avant tout d'une épopée, d'une sorte de récit épique sur un héros avec un côté fataliste, si je puis me permettre.
Bref une fresque épique est toujours conté de manière à faire ressortir l'héroïsme et d'autres choses de ce genre, l'utilisation des caméras normales permettent de mettre en valeur ce genre d'histoire pas vraiment naturel, et ici en filmant au numérique on a cette impression de voir un deco-fiction ce qui rend ainsi ce côté épique et cet héroïsme si développé parfois très ridicule.
Certes cela permet de sublimé les décors...mais ça nuit considérablement à l'histoire. Pour l'impression, le rendu de la scène de la course poursuite était digne d'un de vidéo gag, c'est vous dire
PS: Sinon, l'éclipse qui précède la veille de la venue des espagnoles fallait l'oser
