moi je vois plus ça comme un essai de commercialisation numérique car le plus gros marché de vente de manga après le japon c'est l'europe et surtout la france.
autre nouveauté les mangas arrivent dans les avions....
http://www.actualitte.com/actualite/bd- ... -30384.htmCitation:
Les premiers Boeing 787 plus joliment nommés, « Dreamliner », de Japan Airlines seront mis en circulation à partir du mars 2012 sur trois lignes : Tokyo-New Delhi, Tokyo-Moscou et Tokyo-Pekin. À partir d'avril, les Dreamliners devraient aussi arpenter la ligne Tokyo-Boston.
Parmi les services proposés par la compagnie aérienne, « Sky manga » en association avec Shogakukan proposera des manga populaires (probablement uniquement ceux de Shogakukan dans un premier temps du moins) en version numérique et en japonais.
Inflatable Plane In Pool
Un porte-parole a rapporté à l'AFP les propos du patron de Japan Airlines à ce sujet : « Les manga seront d'abord disponibles en japonais, mais nous prévoyons à l'avenir une version anglaise ». Cela reste bien vague, mais l'initiative est tout de même intéressante.
on a parlé aussi du changement du président de VIZ MEDIA :
http://www.actualitte.com/actualite/bd- ... -30107.htmCitation:
Viz Media Europe change de président
Hyoe Narita va remplacer John Easum qui était à la tête de Viz Media Europe depuis sa création
Par Mario, le lundi 28 novembre 2011 à 10:56:34 - 0 commentaire
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Viz Media Europe (VME) va avoir un nouveau président à partir du 1er décembre 2011. En effet, John Easum quittera ce poste qu'il occupait depuis la création de VME en janvier 2007.
Il a notamment été au centre de la fusion de Kazé, Anime Virtual et VME qui a permis au groupe Shueisha et Shogakukan de s'installer en Europe (principalement en France et en Allemagne) en tant qu'éditeur (de manga et d'anime). À partir de cette fusion, VME n'a plus été sous la tutelle de VIZ Media, LLC (filière américaine basée à San Francisco), et a pu traiter directement avec les maisons mères au Japon.
Un communiqué de Kazé indique : « VIZ Media Europe a été créé en janvier 2007 sous la direction de John Easum. Il a joué un rôle fondamental dans l'accroissement de la présence de VME en Europe et a oeuvré à la mise en place de la stratégie permettant à VME de gagner de nouvelles parts sur le marché européen de l'animation et du manga. À partir du mois de décembre, il vivra à Tokyo où il continuera à travailler dans le domaine de la culture japonaise ».
Hyoe Narita, le nouveau président de Viz Media Europe
Son successeur ne sera pas le premier venu puisqu'il s'agit de Hyoe Narita, l'ancien vice-président exécutif de Viz Media LLC. Il a travaillé 9 ans pour cette entité qui en plus de proposer des manga en tomes, propose aussi un magazine de publications. Il diffusera également et très bientôt un magazine numérique de prépublications en quasi simultanée avec le Japon.
Auparavant, il avait travaillé pendant 9 ans pour les éditions Shogakukan au Japon et avait notamment fait partie de l'équipe du magazine Big Comic Spirits.
À partir du 1er décembre donc, il sera « responsable de la gestion opérationnelle quotidienne en Europe avec Cédric Littardi, Président de Kaze, et Nicolas Weber Krebs, Président de VIZ Media Suisse », indique le communiqué de Kazé.
La réaction face a l'annonce de la création d'un magazine de prépublication numérique :
http://www.actualitte.com/actualite/bd- ... -29425.htmCitation:
Shonen Jump en numérique aux Etats-Unis oui, au Japon non !
Un magazine numérique de prépublication de manga n'est pas nécessaire au Japon selon Hisashi Sasaki
Par Mario, le vendredi 28 octobre 2011 à 08:05:00 - 0 commentaire
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L'annonce de Viz Media US d'arrêter son magazine imprimé Shonen Jump pour le remplacer par un magazine numérique, Shonen Jump Alpha, n'aura pas laissé indifférent. A plusieurs titres d'ailleurs, d'abord parce que la mise en place d'un magazine de prépublication numérique en quasi simultané avec le Japon était très attendu par les fans, et d'autre part parce qu'il est étonnant de voir un éditeur arrêter la publication d'un best-seller.
En effet, le Shonen Jump US était tiré tous les mois à 125 000 exemplaires. Dans une interview accordée à ICv2, Alvin Lu, le senior vice-président et général manager de Viz Media US et Hisashi Sasaki de Shueisha ont expliqué, entre autres, les raisons de cette décision. Selon Alvin Lu, la forme native des manga c'est la prépublication c'est pourquoi il a voulu lancer le Shonen Jump Alpha. Avec ce nouveau magazine, le Shonen Jump US imprimé aurait été « non obsolète, mais avec un contenu pas assez frais ».
Alvin Lu a expliqué qu'il était sûr qu'une partie de leur lectorat regrettera le Shonen Jump US et que certains ne voudront peut-être pas passer au numérique seulement il estime que le Shonen Jump Alpha apportera plus. Il pense aussi que cette offre permettra de réduire le piratage de par son prix, 99 cents pour un numéro et de par la praticité de la plateforme développée.
Les stratégies pour le numérique et pour l'imprimé sont complémentaires selon Alvin Lu. Il espère que le magazine numérique permettra de toucher et de fidéliser plus de lecteurs qui pourront par la suite acheter les versions imprimées des manga prépubliés. Si Viz Media US propose déjà des extraits gratuits de manga sur ses différentes plateformes, il n'envisage pas de le faire pour le Shonen Jump Alpha : « Nous pensons que le prix de 99 cent [...] c'est assez proche d'un extrait gratuit ». Cela dit, plus tard, des contenus en rapport avec le Shonen Jump Alpha devraient être proposés gratuitement.
Interrogé sur la possibilité d'un Shonen Jump numérique au Japon, Hisashi Sasaki a expliqué qu'une telle offre n'était pas nécessaire. Selon lui, les lecteurs japonais sont attachés au rituel de l'achat hebdomadaire du Shonen Jump imprimé chez leur détaillant le plus proche.
Et quand on évoque la taille du marché de manga numériques au Japon plus de 420 millions d'euros selon ICv2 (508 millions d'euros en 2010 selon l'institut de recherche Yano), il balaye l'argument de la main. Ce chiffre correspond, selon lui, uniquement à la vente de manga en volume et pas aux ventes de magazines. Et d'insister : « Nous ne voyons pas la nécessité d'introduire des magazines numériques au Japon ». Plutôt étrange comme attitude, les éditeurs japonais n'hésitent habituellement pas à multiplier les canaux de diffusion. Doit-on y voir une peur d'une cannibalisation des ventes du papier ? Ou peut-être d'un piratage plus massif ?
Sources :
ICv2
Une étude qui montre que la vente de manga numérique progresse au japon :
http://www.actualitte.com/actualite/bd- ... -29415.htmCitation:
Japon : les ventes de manga numériques ont atteint les 508 millions € en 2010
Et il y a de plus en plus d'otaku au Japon selon l'institut de recherche Yano
Par Mario, le jeudi 27 octobre 2011 à 14:19:38 - 0 commentaire
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Une étude menée en août dernier au Japon par l'institut de recherche Yano montre que de plus en plus de Japonais se déclarent « otaku ». Il faut ici faire une différence entre le sens donné au Japon à ce terme et celui donné dans les autres pays (qui serait passionné de manga ou d'anime).
En effet, au Japon, otaku désigne à la base une personne qui se renferme sur sa passion (manga, anime, jeux vidéo, figurines, maid, cosplay, idoles, catch...) jusqu'à devenir relativement asocial. Cela dit, le terme est devenu aujourd'hui un peu moins péjoratif du fait de l'émergence de termes comme « light otaku » désignant des fans occasionnels. Et l'on se rapproche un peu de la définition étrangère d'otaku.
Selon Yano, c'est cet affaiblissement du terme qui expliquerait l'augmentation du nombre de personnes se déclarant ou affirmant avoir déjà été appelées « otaku ». Sur les 10.102 personnes répondants à l'enquête 25,5 % (soit 2 581 personnes) ont dit être, ou avoir été considéré comme, des otaku. On pourrait aussi évoquer la politique menée par le gouvernement visant à donner une bonne image du marché otaku notamment en l'évoquant sous le nom de « Cool Japan ».
Une autre partie de l'étude menée de juillet à septembre montre que les ventes de manga numérique ont augmenté de 28 % en 2010 pour atteindre les 54 milliards de yens (environ 508 millions d'euros) et qu'elles devraient passer à 70 milliards de yens (environ 658 millions d'euros) en 2011. Une augmentation des ventes que Yano explique par l'augmentation de contenus disponibles, un fort taux d'adoption des smartphones et tablettes et des coûts à l'unité moins élevés que les versions imprimés.
Il est possible de télécharger le rapport d'étude de Yano mais il faudra une bonne maîtrise du japonais pour en lire les 646 pages et il faudra débourser tout de même 105.000 yens (environ 987 €).
Chose que je ne savais pas le weekly shonen jump est édité mensuellement en allemagne et norvège et en suède jusqu'en 2007
Citation:
En dehors du Japon[modifier]
Contrairement à la version japonaise, les Jump publiés à l'étranger sont mensuels.
États-Unis[modifier]
Créée en 2002 en collaboration avec Viz Media, la version américaine est sortie pour la première fois en janvier 2003 et fut instantanément le magazine de bandes-dessinées le plus vendu du moment dans le pays.
La liste des titres paraissant dans cette version inclut Yu-Gi-Oh!, Yû yû hakusho, One Piece, Naruto, Shaman king et Sand Land. Dans le numéro de janvier 2004, Sand Land arriva à sa conclusion et fut remplacé par Hikaru no Go. Dragon Ball fut interrompu au mois d'avril 2005, pour être conclu en août 2006 par un dernier chapitre.
En Allemagne
Shōnen Jump est publié en Allemagne sous la forme d'un magazine d'anthologie nommé BANZAI!, créé par Carlsen Verlag. BANZAI! publie Hikaru no Go, Hakuchi One, Naruto, I"s, Hunter × Hunter et Shaman king. Plusieurs autres titres, tels que Yu-Gi-Oh!, Halloweens, Dr Slump, One Piece, Neko Majin, Sand Land, Neko Majin Z, DNA² ont été publiés dans BANZAI!, ainsi qu'un « manga » allemand, Crewman3.
En Suède
Cette version contient Yu-Gi-Oh!, Sand Land, Bleach, Naruto, Shaman King et Kenshin le vagabond. Elle était publiée par Manga Media depuis 2004 cependant, sa distribution a été arrêtée en novembre 2007 à cause d'un trop petit nombre de lecteurs.
En Norvège
L'édition norvégienne de Shōnen Jump est publiée par « Schibsted Forlagene ». Le premier numéro est paru en mars 2005, contenant les mêmes séries que son homologue suédois.