Quand on voit ce qui est arrivé au président de la fédération de football espagnol pour un petit smack dans l'euphorie de la victoire, on ne peut pas te donner tort
Sauf qu'il faudrait penser à dissocier les personnages de fiction des idéologies.
Les créateurs ont la liberté d'insuffler le caractère qu'il désire dans leur personnage sinon à quoi bon faire de la fiction. C'est littéralement une censure ce qui se passe de nos jours.
à ce rythme là il n'y aura bientôt plus de méchants dans les histoires.

La mort de Terasawa a ravivé un souvenirs ému, celle de la découverte de l'animé sur Canal+ a une époque où le manga en France prenait lentement son expension dans le paysage audiovisuel tricolore. Le reste de l'histoire on la connait; l'influence en France et ailleurs, les qualités d'un anime qui aura selon moi transcander le manga papier et un auteur qui aura toujours essayer d'être avant gardiste dans l'usage des nouvelles technologies pour diffuser ses oeuvres.