Il y a l'émotion, et il y a ce qui s'appelle le pathétique. Là, les géants sont pathétiques à accepter de se soumettre aussi facilement. Aucune terreur des mers en vue sur cette île.
Gaban qui n'arrive pas à maîtriser Gunko, c'est pas très reluisant non plus. Mais bon, à un moment, il y a les nécessités du scénario, et Oda veut nous emmener ailleurs, et donc on jugera à la fin.
La pépite du chapitre, c'est donc l'intervention d'Imu. C'est marrant qu'on ait du mal à croire que c'est Dragon qui arrive enfin à accomplir quelque chose en faisant de vrais dégâts à la terre sainte, et donc on attend confirmation. On voit bien que les doyens et les chevaliers sacrés ont des pouvoirs hors haki, hors fruit du démon (à eux), mais qui sont attribués par Imu : téléportation, invulnérabilité, vieillissement interrompu... Autant de pouvoirs dont Imu peut forcément disposer pour lui-même. On voit même qu'il peut s'inviter dans le corps de ses fondés de pouvoir, et peut-être aussi les manipuler d'une manière générale pour qu'ils bossent pour lui. On peut même se demander si à Mariegeoise c'est le corps d'origine qui squatte.
Pour la première fois dans l'histoire, Imu choisit d'intervenir lui-même (pas exactement en personne), faisant fi du tabou de son existence. Apparemment c'est parce que la situation craint un max, et je trouve intéressant pour le coup qu'il y ait une intrigue parallèle dont on entend parler que par oui dire, sans la suivre en même temps : on est donc dans la même situation que nos protagonistes à Elbaf qui ne comprennent pas tout, mais voient les résultats.
Le fait est qu'avec les 5 doyens, la marine, et probablement 6 chevaliers sacrés dont Shamrock, ils n'arrivent pas à gérer la situation et récupérer ces trois larrons ferait office de renforts bienvenus. Faut qu'ils soient vraiment désespérés !
