Oui visiblement il a refusé un chèque de 50 millions pour apparaitre dans les saisons 13 et 14 car CBS voulait continuer.

Après je comprends l'acteur, le mec risque de n'être connu que pour Sheldon, si il veut sortir de cette étiquette il doit faire d'autres rôles.

Perso' je ne l'ai vu que dans le films Les figures de l'ombre. Et pas plus convainquant que ça. Il a quand même ce physique de geek qui est dur à caser. Va te muscler mon grand.

Johnny Galecki, lui, est plus passe partout.

Game of... Game of... quelqu'un a vu la der' de Big Bang cette nuit ?

https://hitek.fr/42/big-bang-theory-fin ... cuoco_6748

Edit.

l'audience

Le Cas Sheldon Cooper (en 5 lignes). ~ Tout part du dilemme éthique : il ne peut souffrir aucun cas de conscience ;
la science : un prétexte pour ne pas aborder les questions morales ;
la science-fiction : un expédient naïf pour masquer son incompréhension des choses sociales ;
l'autisme : un prétexte à des caprices, avec une impatience qui frise la crise de nerfs, pour s' enfermer dans des illusions ;
Mr. Spock : la raison supérieure, le stoïcisme.

La vraie force du geek. ~ Progressivement commence à se faire jour l'idée que les universités sont aux savoirs ce que les musées des beaux-arts sont aux goûts :
pas davantage qu'il ne faut rechercher notre sens actuel de la beauté en ces lieux, on ne trouvera ici la vérité.
Ces respectables monuments nous paraissent historiques et désuets, soit dit en passant avec votre permission.
Or donc, si l'on n'y élève pas d'honnêtes amis de la vérité, de quelle plante veut-on en somme obtenir la croissance ?
Est-ce que les anti-héros de Big Bang Theory auraient-été si loin dans les études scientifiques,
s'ils n'avaient trouvé dans les comics une image idéalisée de la Science ?
Leurs lectures ont, comme à d'autres, modifié leur perception de la réalité.
Peut-être même ont-elles été jusqu'à leur faire, pour un temps du moins, oublier ce qu'ils ressentaient alors comme la dure sévérité de celle-ci.
Le gros du peuple comprend désormais que le geek, à travers ses personnages de BD, veut aussi avoir le sentiment de la puissance de son côté.
Et le public de cligner de l'oeil : "Sur ce point, ô génies, nous sommes égaux."
Mais ce que les normies ne comprennent pas, ce qu'il ne peuvent décidément pas souffrir, ce qui fait presque d'un savant un ascète à leurs yeux,
ce qui distinguera toujours le comédien de l'humble savant, c'est la résilience.
"Comment faîtes-vous donc pour supporter tout cela, demandent-ils,
et il ne faut pas entendre par là les inlassables brimades des camarades de classe ou la solitude des longues études, non, mais leur condescendance."

Bazinga! ~ La théorie du Big Bang a la prétention de ramener le sens de l'univers a son hypothétique centre.
Croyance qui s'écroule d'elle-même : l'expansion étant une donnée relative, l'univers au sens absolu n'a ni centre, ni périphérie.
Une première cause est aussi impossible à concevoir que l'endroit où l'espace finit ou que l'instant où le temps a commencé.
La première déviation du premier atome,
la première manifestation de la première force physique,
le premier mouvement dans l'univers,
la première cohésion du premier matériau,
la première modification du premier état (liquide, solide, gazeux)...
...C'est encore l'exaltation de l'origine par le bon vieil argument cosmologique qui célèbre ici sa résurrection.
#GodIsDead

Enfin, pour ne pas être en reste, on peut toujours faire valoir sur les gentils geeks de The Big Bang Theory, le Nerd Trio de Sunnydale.
Eux, sont réellement faustiens au sens où je l'entends: le mal - sous toutes ses formes- est transcendé en moyen de connaissance.
Ils ont le désir de faire avaler au monde la blackpill et se réjouissent du chaos que subit Sunnydale.
Ils sont les précurseurs du mouvement incel auquel la série médiocre de The Big Bang Theory ne sait que répondre.
Quoi de plus normal si les geeks de cette série soient restés, comme leurs auteurs et leurs fans, des nostalgiques avant l'heure,
des arriérés, des ringards, qui n'aspirent qu'au bonheur des débiles.